Le carnet de Gaëlle: un rayon musical à découvrir Nicolas Olso.
L’hiver approche à grands pas ces derniers jours. La morosité et l’angoisse laissaient par les évènements tragiques des dernières semaines; il est temps de retrouver le sourire.
Gaëlle, notre rédactrice en chef, a découvert ce jeune artiste au grand coeur.
A découvrir de toute urgence.
Présenter un artiste, quoi de mieux que de lui poser quelques questions.
Nicolas, qui se cache derrière cette sincérité?
Je suis un auteur, compositeur, interprète. J’ai commencé à jouer de la guitare à 12 ans, puis j’ai ajouté à la guitare, le chant.
Je jouais pour moi des reprises de chansons françaises, du Cabrel, du Goldman…
Je suis me suis mis à composer après avoir vécu un évènement trajque qui m’a touché. Cela a été pour moi, un déclic.
En quelques sortes,c’était une façon d’exprimer mes sentiments.
Parle nous de ton single?
Quand je l’ai composé, je me remettais beaucoup en question, sur le système actuel. Je dis souvent “un beau jour, les perdants seront les gagnants. Oubliez ce que vous voyez, formez-vous seul et avancez.
Ton EP?
Mes textes sont beaucoup à double sens.Je vais au bout de ce que je veux faire. J’ai réalisé cet EP avec le site participatif KissKissBankBank qui est très bien pour gérer un projet ciblé. Pour moi, c’est avant tout une réussite collective.
En octobre dernier, tu as fait une scène parisienne, en gardes-tu un bon souvenir?
J’ai eu le plaisir de participer au Web Talent festival, j’étais fier, des gens venez me voir.
Je suis, du moins, j’essaye d’être au plus proche des gens.
Celui qui dit ” Si les Fréro Delavega me proposaient de faire une première partie, j’irai” est une pure merveille. Le webtoulousain lui souhaite que de bonnes choses dans ce monde de brut.
